LA LUTTE DE L’ACADÉMIE FRANÇAIS CONTRE L’INFLUENCE ANGLAIS

Par Hannah Shewan

Dès nos jours, on parle plus en plus de ‘la langue universelle’: c’est-à-dire l’anglais. Au passé, le nombre des élèves internationales qui étudiaient français était 120 millions et 80 millions apprenaient anglais, ce qui montrait la dominance de la langue française. Mais les statistiques actuelles montrent le contraire.

Bref, la notoriété de français baisse. Dans la société française— qui est estimée typiquement comme “bureaucratique” — ceci est un problème.

Pire encore, selon l’Académie Française il y a un autre problème plus grave. Le français est pollué avec les mots anglais à cause des médias.  Les anglicismes comme ‘le week-end’ sont utilisés plutôt que des phrases françaises, dont ‘la fin de la semaine’ est un example. En outre, le verbe “tweeter” est préféré au lieu de “gouilleter”.

D’après l’Académie Française, il faut lutter contre le “franglais” pour préserver la pureté de sa langue. Un exemple de leurs efforts de diminuer le risque de franglais, c’est la liste de “dire, ne pas dire”.

Toutefois, il faut soulever la question de savoir si — et dans quelle mesure— l’Académie Française a les pouvoirs d’empêcher l’augmentation de ces anglicismes.

D’une part, la mondialisation créât un besoin d’une langue universelle. À cause de l’ influence américaine, la langue doit être l’anglais. Par conséquent, l’anglais mélangera immanquablement avec le français, l’allemand, le chinois etc. De plus, les jeunes voient l’anglais comme chic à cause de ses liens avec l’Occidental y compris la musique anglaise et américaine populaire.

D’autre part, oui, une organisation très influente peut changer beaucoup à long terme. Compte tenu de la situation, l’Académie Française a soit le droit soit la responsabilité de contrôler ces changements. Il faut essayer de sauver les langues en voie d’extinction.

Au total, L’Académie Française peut essayer de maintenir la langue française. Mais, en fin de compte, une langue est toujours dynamique, vivante et en train de changer.

Quand j’ai demandé sur la représentation de l’Académie Français à une amie qui habite en France, elle a répondu simplement: “Au, non, c’est nul: l’anglais est super-cool.”